Archiv der Kategorie: Texte

Public Domain Buch

Was geschieht mit Werken nach Ablauf des Urheberrechts?Cover Public Domain Buch

  • Freie Verfügbarkeit von Werken als Chance und Herausforderung
  • Aus der Reihe ‹Edition Digital Culture›
  • Mit Beiträgen von Leonhard Dobusch, Merete Sanderhoff, Martin Steiger, Wolfgang Ullrich, Mario Purkathofer und Daniel Boos

70 Jahre nach dem Tod eines Urhebers werden dessen Werke zu öffentlichem geistigem Eigentum, sie sind gemeinfrei und gehören somit dem Publikum. Damit sind nicht nur mittelalterliche Texte, sondern auch Bücher und Werke aus dem 20. Jahrhundert frei. Die Digitalisierung hat dem Umgang mit diesen Werken zu einer neuen Dynamik verholfen. Public Domain ist für Museen, Bibliotheken, Archive und Galerien eine Herausforderung, aber auch eine Chance für den ganzen kulturellen Sektor. Im Buch werden die urheberrechtlichen Grundlagen von Public Domain erklärt und die Schwierigkeiten bei der Umsetzung im Alltag der Kulturinstitutionen diskutiert. Breiten Raum nimmt das Thema Remix ein, das in Theorie und Praxis dargestellt wird. Ein ausführliches Glossar ist Teil der Publikation.

Erscheint auch als E-Book.

http://www.merianverlag.ch/de/publikationen.html?productDetail=68ec7f21-947a-4478-bcad-b2fd2c2a643a

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Zum Weltfrieden! General-Appell an die Völker Europas

von Curt Trützschler von Falkenstein

Was fehlt uns? Die Liebe fehlt uns, die Nächstenliebe und somit die Lebensfreude. Menschen müssen wir werden, ganze Menschen und gute Menschen …

Gefunden in der
Staatsbibliothek zu Berlin – Preußischer Kulturbesitz

http://www.europeana1914-1918.eu/en/europeana/record/9200231/BibliographicResource_2000092034733

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Briar blossoms. Being a collection of a few verses and some prose

Howard Llewellyn Swisher † August 27, 1945 was an American businessperson, real estate developer, orchardist, editor, writer, and historian. This work specially for Joerg Vogeltanz: Briar blossoms. Being a collection of a few verses and some prose.

https://archive.org/details/briarblossomsbei00swis

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Beschreibung der Beerdigung van Goghs (Emile Bernard)

Émile Bernard beschreibt 1890 die Beerdigung Van Goghs: Der Sarg war bereits geschlossen. Ich kam zu spät, um nochmals den Mann zu sehen, der mich vor vier Jahren voller Hoffnung verschiedenster Art verlassen hatte . . . . An den Wänden des Raums, in dem sein Leichnam aufgebahrt wurde, waren all seine letzten Bilder aufgehängt worden, die so gleichsam einen Glorienschein für ihn bildeten, und das Aufblitzen des Genies , das sie ausstrahlten, machte diesen Tod umso schmerzlicher für die Künstler. Der Sarg war mit einem schlichten weißen Tuch bedeckt und von Blumen in großer Zahl eingerahmt, die Sonnenblumen, die er so sehr liebte, gelbe Dahlien, gelbe Blumen überall. Dies war, wie Sie sich wohl erinnern, seine Lieblingsfarbe, das Symbol des Lichts, das er in die Herzen ebenso wie in die Kunstwerke träumte.

Ebenfalls in seiner Nähe, vor seinem Sarg, standen seine Staffelei, sein Klappstuhl und seine Pinsel….. (Vollständiger Text auf der Diskussionsseite des Wikipedia Artikels)

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Kasperle auf Reisen & auf Burg Himmelhoch (Josephine Siebe)

Nicht nur Lisa Wenger hat Geschichten über den Kasperle geschrieben. Auch Josephine Siebe (gestorben 1941), Kinderbuchautorin, hat Kinderbücher über Kasperle geschrieben.

Zwei Werke sind bereits im Gutenberg Projekt verfügbar:

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About two Squares (El Lissitzky)

About to squares is a short picture book for children. It is also one of the most powerful expressions of revolutionary Communism and modern art.

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Amerika – heute und morgen

Ein Werk von Arthur Holitscher ist Amerika – heute und morgen. Das Werk Amerika soll auch Franz Kafka für sein Werk Amerika (Der Verschollene) inspiriert haben. Dabei hat Kafka sogar einen Druckfehler im Namen Oklahoma übernommen.

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Joggeli söll ga Bierli schüttle

„Es schickt dr Herr dr Joggeli us
er söll go Birli schüttle.
Joggeli wott nid Birli schüttle,
d‘ Birli wei nid falle.“

Die Werke der Schweizer Kinderbuchautorin Lisa Wenger können ab dem 1.1.2012 gejamt werden. Dazu gehört auch ihre Version vom Joggeli.

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Der Golem (Arthur Holitscher)

Arthur Holitscher (Tod 1941) hat ein Theaterstück veröffentlicht zum Thema Golem. Das Stück Golem kann auf Openlibrary gelesen werden.

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Exile – James Joyce

Exile“ ist das einzige Theaterstück von James Joyce.
I shall smoke a cigarette. Thirty-seven copies have
now been sold in Dublin.

Ab 1.1.2012 gibt es eine unlimitierte Anzahl von Kopien auch in Dublin!

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LES DEMI-VIERGES

Tandis que Maud s’asseyait devant le bureau du petit salon et écrivait vivement un télégramme bleu, sa mère, Mme de Rouvre, étendue tout près d’elle sur une chaise longue, dans une posture ankylosée de rhumatisante, reprit son roman anglais et se mit à lire.

Le bureau — trop bas pour la longue taille de Maud — était un de ces meubles en acajou foncé, bizarres et commodes, que Londres fabrique et que Paris commence à adopter. De même, l’ameublement du petit salon et de l’autre, beaucoup plus vaste, qu’on apercevait par l’ouverture d’une grande baie, sans rideaux, portait l’empreinte de ce goût d’outre-Manche, amusant et un peu faux, où se réfugie l’élégance moderne, blasée, pour les avoir trop vus, sur les purs et délicieux styles français du siècle dernier. C’étaient des chaises en bâtons courbés, laquées de blanc ou de vert pâle, des fauteuils larges à l’excès, en acajou marqueté de bois des îles, pourvus, au lieu des moelleux oreillers de plume et de soie, de simples coussins plats en maroquin. Les tentures, les portières laissaient tomber des frises leurs plis droits de corah monochrome, de crêpe léger à grandes fleurs orangées, mauves ou glauques. Un feutre ras, d’un ton mousse tirant sur le jaune, étendait par terre une sorte de pelouse unie, — le gazon fraîchement tondu d’un parc britannique.

Et l’appartement, comme sa décoration, témoignait d’un goût résolu de modernité, informé des commodes d’hier, décidé à les utiliser. C’était le second étage d’une de ces colossales maisons dont un architecte parisien a doté récemment plusieurs avenues voisines de l’Arc de Triomphe. Celui-ci donnait avenue Kléber, tout près de la place de l’Étoile: quinze fenêtres de façade, la superficie d’un vaste hôtel, en plain-pied. Chacune des trois habitantes (Mme de Rouvre divorcée, puis veuve, vivait avec ses deux filles, Maud et Jacqueline) y avait son chez-soi indépendant, ouvrant sur la longue galerie parallèle à la façade. Les jours de bal, un immense hall mobile, occupant toute la cour intérieure de la maison, se montait à l’aide d’ascenseurs au niveau de chaque étage et en doublait l’étendue.

Maud de Rouvre ne déparait point ce cadre, dont elle avait voulu et combiné la moderne élégance. Malgré des hanches rondes et un buste épanoui, elle paraissait mince par la longueur flexible de sa taille, la grâce tombante des épaules, la petitesse de la tête pâle, couronnée de cheveux bruns, mais d’un brun rare, point nommable, comme un tissu d’or qu’on aurait bruni et qui laisserait transparaître, sous la patine, le roux lumineux du métal. Ces lourds cheveux bruns, relevés à la japonaise, découvraient un front étroit, souligné par les sourcils nets comme un trait de pinceau, par les yeux médiocrement grands, mais d’un éclat bleu incomparable; et le nez encore était charmant, mince d’en haut, élargi aux narines, avec ce léger relèvement de la pointe qui donne au visage un air de mutinerie hautaine, et décide, au Conservatoire, la vocation des grandes coquettes. Seule, la bouche rompait un peu l’harmonie des traits: petite, meublée de dents merveilleuses, mais plutôt arrondie que fendue, avec des lèvres où un médecin curieux de stigmates dégénérescents eût noté les plis verticaux, à peine perceptibles. Et il eût sans doute rapproché cet indice de la forme des mignonnes oreilles qui, par en bas, s’attachaient à la tête presque sans lobe.

Mais qui sait ? Peut-être ces légères inharmonies, rompant la monotonie de la beauté féminine convenue, sont-elles l’attirance suggestive, l’appât de mystère par quoi de telles femmes deviennent les plus dangereusement aimées. Celle-ci, penchée sur le _blotter_ de maroquin, couvrant d’une longue écriture rapide le carré de papier, fixait invinciblement le regard, qui eût glissé peut-être, avec indifférence, sur des formes et des traits plus classiques. Sa simple robe de crêpe gris, à ceinture de faille, sans un volant, sans un bijou; ses mains longues, nues de bagues; la fraîcheur de camélia de sa peau, et on ne savait quoi d’indécis dans le dessin des bras et l’attache du cou, la montraient jeune fille encore, — non plus fillette, mais la vingtième année à peine franchie… Et les hanches larges, et le corsage mûr, et les yeux aux prunelles fixes qu’elle levait maintenant du papier, mordillant les barbes de sa plume, le front barré d’une ride par la recherche d’un mot rebelle, — encore on ne savait quoi de définitif, d’achevé, d’un peu désabusé même dans l’attitude, dans le regard, eussent fait hésiter et demander: „Est-elle femme ?“ De vrai, suivant les jours, suivant ses toilettes, elle s’entendait appeler „Mademoiselle“ ou „Madame“ dans les magasins où, depuis longtemps, son coupé la menait presque toujours seule, Mme de Rouvre aggravant de rhumatismes chroniques son indolence naturelle de créole.

Rien ne ressemblait moins à Maud que cette pauvre mère valétudinaire, en ce moment étendue sur la chaise longue, (…)

Vollständige Fassung zum Download

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Woolf, Virginia. On Being Ill

Woolf, Virginia. On Being Ill. 1930.
250 copies numbered and signed by the author. No. 156.
Dust jacket designed by Vanessa Bell.

Hogarth Press Handprinted Books

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Reisetagebücher von Oscar Loerke

Teilweise online unter Google Books

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Juden und Deutsche

„Juden und Deutsche“, erstmals erschienen in Berlin 1921, ist ein fulminanter Beitrag zu einer Debatte, die in Deutschland und Österreich zwischen 1900 und 1933 geführt wurde. In seiner kritischen Analyse des deutschen Judentums unterzieht er die beiden gängigen Positionen – die der Assimilation und die des Zionismus – gleichermaßen einer witzigen und polemischen Kritik, dies aber von einem denkbar ungewöhnlichen Standpunkt aus: Nicht nur von Ludwig Börne und Friedrich Nietzsche, sondern vor allem von Otto Gross‘ anarchistischer Überbietung der Psychoanalyse her argumentierend, stellt er diesen „bürgerlichen“ Versionen des modernen Judentums eine antibürgerliche entgegen, eine nach Kuh allerdings genuin jüdische Moderne: die der Diaspora.

Das Original finden sich in der University of Florida Digital Collection

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Einen grossen Nazi hat sie!

Einen grossen Nazi hat sie
einen kleinen Nazi hat sie
hat den grossen und den kleinen Nazi gern
sagt zum grossen Nazi Schatzi
sagt zum kleinen Nazi Schatzi
und verachtet auch … feinen Herrn
drum tut mir jeder Herr leid wenn er in der Schweiz verliebt in eine Sennerin
einen grossen Nazi hat sie
einen kleinen Nazi hat sie
denn sie ist in punkto Nazi, Kennerin.

Text: Fritz Grünbaum

Youtube.com

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Sculpture and the living modell

In der GLEESON LIBRARY DIGITAL COLLECTIONS findet sich auch das Buch Sculpture and the living modell von Eric Gill.

Alle Werke von Eric Gill, die derzeit online verfügbar sind, findest du hier.

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